Au nom du père et du fils
Au nom du père, au nom du fils, Jésus a créé le premier monopole en Israël et a dirigé sa société grâce aux pouvoirs transmis par son père.
Où en est la société israélienne 2000 ans après ?
Rien n’a changé. L’actuel président de la République, Isaac Herzog, n’est que le fils de Haim Herzog, lui-même ancien président de l’État d’Israël.
Mais ce n’est malheureusement pas le seul exemple.
Plus de 100 familles détiennent tous les pouvoirs en Israël, ce sont les fameux monopoles qui imposent leurs prix à la consommation.
Ces monopoles sont généralement des entreprises familiales créées dans les années 50 par la gauche israélienne, qui était généralement ashkénaze.
Ces concentrations de monopoles sont les principales raisons du coût élevé de la vie en Israël.
Le pouvoir des monopoles
En Israël, comme dans de nombreux autres pays, les monopoles économiques peuvent exercer une influence significative sur l’économie et la politique du pays.
Un monopole se produit lorsque seule une entreprise ou un petit groupe d’entreprises contrôle la majeure partie d’un marché spécifique, ce qui leur donne un pouvoir considérable pour dicter les prix, restreindre la concurrence et influencer les décisions politiques qui les concernent.
La taille réduite du marché intérieur limite le développement de nouvelles industries et permet aux entreprises déjà établies de maintenir leur domination.
Les monopoles et la politique
Les deux sont étroitement liés, car tous les partis politiques israéliens sont financés par les monopoles et ont établi des liens politiques étroits.
Ce qui peut leur permettre d’influencer les politiques publiques en leur faveur.
Certaines entreprises peuvent bénéficier de contrats et d’accords spécifiques en raison de leur contribution perçue à la sécurité nationale ou à d’autres intérêts.
Le monopole à tous les niveaux
Les monopoles sont généralement des entreprises familiales, où la notion de « au nom du père, au nom du fils » prend tout son sens.
Tout le système économique d’Israël est basé sur un système de clan, de famille.
L’ancien président de la Cour suprême, Aharon Barak, avait annoncé la couleur.
« Il faut comprendre que la Cour suprême est une famille, même s’il peut y avoir des opinions différentes. Pour le bien de l’État, il faut un tribunal cohérent, au sein duquel les rapports sont comme dans une famille, avec les différences d’opinion. On ne peut pas faire entrer dans le système une personne qui n’appartient pas à la famille. »
On comprend aujourd’hui pourquoi il y a tant de personnes qui refusent cette réforme judiciaire.
En cassant l’appartenance familiale de la Cour suprême, à la tête de l’État, tous les monopoles, toutes les familles d’intérêts israéliennes se sentent visés.
Tout le système clanique israélien risque de s’effondrer pour créer une société réellement libérale dont le peuple serait le seul bénéficiaire avec une baisse des prix généralisée.
Nous ne serons plus le pays le plus cher de l’OCDE.
Il ne faut pas oublier que nous avons inventé le monopole
Le concept du Dieu unique
Avec un seul lieu saint « Jérusalem »
Et nous attendons « Mashiah ben David »
Nous sommes Le peuple élu.
C’est le monopole divin.
Trouvez une réponse à toutes vos questions pour la réussite de votre Alyah.