La Palestine historique

Qui est le plus fort, le mensonge ou la vérité

Je suis a contre courant d’une affirmation que le monde aujourd’hui a intégré, c’est que la Palestine est une terre arabe.

Cette terre s’est appelé très longtemps Israel. en 70 de notre ère, les romains l’ont conquis, ils ont expulsés tous les juifs et l’ont baptisé Palestine pour enlever les traces d’Israël.

Sans ses propriétaires la terre ou coulait le lait et le miel est devenue aride et tous ses habitants l’ont quittés.

Cette terre avec Jérusalem comme capitale divine a été conquise par toutes les religions, Les croisés ‘abord et les arabes avec Saladin qui lui a repris sous le conseil de Maimonide

Elle est passé ensuite sous domination turque puis anglaise au début du siècle dernier.

Chateaubriant en parlait en ces termes en 1811

Quand on voit les Juifs dispersés sur la terre, selon la parole de Dieu, on est surpris sans doute; il faut voir ces légitimes maîtres de la Judée esclaves et étrangers dans leur propre pays; il faut les voir attendant, sous toutes les oppressions, un roi qui doit les délivrer

Les Perses, les Grecs, les Romains ont disparu de la terre: et un petit peuple, dont l’origine précéda celle de ces grands peuples, existe encore sans mélange dans les décombres de sa patrie. Si quelque chose, parmi les nations, porte le caractère du miracle, nous pensons que ce caractère est ici.

Lamartine lui en 1832 en parlait ainsi

Pas une seule fois dans tout l’ouvrage de Lamartine n’est écrit le mot palestinien. Non que Lamartine faisait de la désinformation, mais parce que cela n’existait pas, un Palestinien.Lorsque le mot palestinien commence à être employé pour désigner une population et non une région, vers le début du 20e siècle, il est indissociable des Juifs. En fait, il ne désigne que les juifs. Ne le dites pas aux Arabes en France.

C’est bien là que Sion était assise ; site bizarre et malheureux pour la capitale d’un grand peuple : c’est plutôt la forteresse naturelle d’un petit peuple chassé de la terre, et se réfugiant avec son temple, sur un sol que nul n’a intérêt à lui disputer ; sur des rochers qu’aucunes routes ne peuvent rendre accessibles, dans des vallées sans eau, dans un climat rude et stérile, n’ayant pour horizon que les montagnes calcinées par le feu intérieur des volcans, les montagnes d’Arabie et de Jéricho, et qu’une mer infecte, sans rivage et sans navigation, la Mer-Morte !

J’ai beaucoup amis arabes a qui j’ai demandé de m’indiquer quels ouvrages parlent du peuple musulman palestinien. Ils cherchent… Ils ne trouveront pas, cela n’existe pas. Les musulmans volent l’histoire des autres.

 

 

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