la cour supreme

La Cour suprême et la Gauche

La Cour Suprême et la Gauche sont le symbole de la division qui anime la société israélienne.

Responsables en grande partie des conséquences du massacre du 7 octobre, ils sont incapables de se remettre en question et continuent à diviser la société israélienne.

Leur nouveau cheval de bataille est de mobiliser la société pour la libération immédiate des otages aux conditions du Hamas.

Ce qui est tout simplement accepter le massacre du 7 octobre comme un acte de résistance palestinien.

C’est oublier la mort de centaines de nos jeunes soldats qui se battent pour notre protection.

Surtout, c’est donner la possibilité de recommencer un autre pogrom, sans tenir compte du calvaire des habitants qui vivent a la frontière de Gaza.

Que fait la Cour Suprême.

Symbole de la Gauche qui en a fait le contre-pouvoir qui lui permet d’empêcher le pouvoir, représenté par Netanyahou, de diriger sereinement Israël.

Des manifestations pendant près de 40 semaines qui ont divisé la population israélienne et fait croire au Monde et surtout à nos ennemis qu’Israël ne se défendra pas en cas d’attaque du Hamas.

Manifestant en parti financé par des progressistes américains et des wokistes. Plusieurs personnes m’ont dit toucher 300 shekels pour participer aux manifestations.

C’est elle qui a imposé à l’armée de ne pas tuer les Palestiniens qui s’approchent trop près de la barrière de sécurité.

Et donc permis à un terroriste de tuer un militaire à bout portant.

La Cour Suprême et le 7 octobre.

Pour éviter de se justifier face à la Cour Suprême, l’armée a changé ses consignes de tir et a par conséquent ouvert une brèche dans ce mur qui aurait dû être infranchissable.

Le Hamas s’est servi de cette faille pour organiser son attaque et pénétrer en Israël en toute impunite.

La Cour suprême ne doit en aucun cas participer aux commissions d’enquêtes qui devront déterminer les responsables du 7 octobre.

La Cour Suprême ne peut pas être à la fois juge et partie.

À quoi sert la Cour suprême dans sa composition actuelle.

Être un contre-pouvoir ne veut pas dire faire tomber le pouvoir démocratiquement élu.

Une réforme s’impose.

Israël a le devoir d’avoir une démocratie forte et efficace.

Quand cette guerre sera finie, il faudra se réunir derrière cette devise.

Ensemble nous vaincrons.

Marc-Elie-Gozlan

Netanya le 24 juillet 2024

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