Tout est bon dans le cochon, surtout en Israël.

L’industrie porcine est florissante en Israël,

Difficile à croire.

Pourtant, une loi de 1962 interdit l’élevage de porc en Israël, leur détention et leur abattage.

Mais le texte comporte des failles que ses opposants se sont empressés d’exploiter.

Par contre l’importation de porc est complètement interdite.

Mis à part une partie des russes qui mangent toujours de porc, certains villages arabes du nord du pays, tels que Nazareth, Kfar-Yassin ou Aablin en Galilée, en raison de leur forte densité chrétienne, ont l’autorisation d’élever des porc.

L’autre autorisation concerne  les instituts de recherche scientifique, les jardins zoologiques.

Mai tout est bon dans le cochon et l’industrie médicale s’est emparé de l’animal pour recherche parce que leur système cardiovasculaire, leur peau et leurs régions gastro-intestinales ressemblent à celles des humains, ce qui les rend idéaux pour les essais pré-cliniques de nouveaux produits et de dispositifs médicaux.

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Le Kibboutz Lahav

Le Kibboutz Lahav C.R.O (Contract Research Organisation) dans le Néguev, au nord de Beer Sheva en a fait sa spécialité depuis près de 50 ans.

le kibboutz travaille en collaboration avec des universités, des entreprises de dispositifs médicaux et des sociétés pharmaceutiques et est devenu l’un des principaux centres de recherche israéliens axés sur les porcs

Les recherches dans ce kbboutz concernent plusieurs maladies dont les principales sont le diabète, les maladies cardiaques, les maladies de la peau, les maladies pulmonaires, la détection du cancer et même les traumatismes

Malheureusement , le traumatisme , dans cette partie du monde,est une chose qui existe vraiment en dans ce pays en état de guerre constante

Selon Ofer Doron, directeur de l’institut depuis près de deux décennies, la recherche sur les traumatismes est importante compte tenu de la situation géopolitique de la région.

« Il ne fait aucun doute que la réalité du traumatisme et du terrorisme qui nous entoure est un catalyseur pour nos recherches sur la façon de traiter les blessures de cette nature »

Pourquoi le porc

Les ressemblances sont si importantes d’un point de vue anatomique et physiologique que le porc est déjà utilisé pour chirurgie cardiaque (valves aortiques) et la production d’héparine (anticoagulant). Cette proximité avec l’homme en ferait même un bon candidat pour les greffes d’organes.

Tout comme l’homme, cet animal peut souffrir de diabète, d’obésité ou de maladies comme Parkinson et Alzheimer. Une raison de plus qui fait du cochon un « modèle utile » pour les chercheurs.

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