Attaque djihadiste à la préfecture de police

L’attaque djihadiste à la préfecture de police s’est soldée par la mort de 4 policiers tués par l’un des leurs.

Le ministre de l’intérieur Christophe Castaner s’est empressé de faire une déclaration qui attestait que le tueur était un adjoint administratif qui n’avait «jamais présenté de difficulté comportementale», ni «le moindre signe d’alerte».

La priorité du gouvernement français était de ne pas froisser la communauté musulmane, pour ne pas la stigmatiser.

En clair, un message est lancé aux djihadistes,  » vous pouvez tuer du flic sans risque », comme le message avait aussi été reçu comme « vous pouvez tuer du Juif sans risque »

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La liberté d’expression n’existe plus

La liberté d’expression n’existe plus n’existe plus en France.

Les Médias psychiatrisent systématiquement les terroristes islamiques en niant l’évidence, qui d’autre peut tuer des mécréants avec un couteau.

La femme de l’assaillant aurait affirmé que son mari, nommé Michael Harpon, avait eu «une crise de démence» la nuit précédant l’attaque de la préfecture. Cette information aurait été livrée par l’épouse lors de sa garde à vue. Elle aurait notamment assuré qu’il avait «entendu des voix» et qu’il était «incohérent» au moment de son réveil brutal.

Ces mêmes médias qui montrent du doigt les ripostes israéliennes sur Gaza, sans parler des tirs de roquettes qui ont provoqués cette riposte.

La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a mis en garde contre «les élucubrations sur les réseaux sociaux» à propos de l’attaque à la préfecture de police de Paris, soulignant qu’il n’y avait «pas d’indication sur une éventuelle radicalisation» de l’auteur des faits.

Les médias, comme les politiques ne sont plus transparent, comment voulez vous que les français aient confiance en leurs institutions.

Le seul qui ose parler, Eric Zemmour, est constamment attaqué en justice et privé d’antenne.

Qui est l’assassin

Michael Harpon, antillais converti a l’islam en épousant une femme marocaine, était sourd et muet.

Il était apprécié de ses collègues mais que, depuis peu, il aurait vécu une forme de frustration professionnelle et aurait regretté de ne pas pouvoir gravir les échelons hiérarchiques à la préfecture du fait de son handicap.

Il travaillant à la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris. Il aurait 20 ans d’ancienneté.

De par sa fonction, il avait un accès sans limites à toutes les informations sensibles « secret défense » et à l’adresse personnelle de tous les policiers de France.

On se rappelle l’affaire de Magnanville ou un policier et sa femme avait été assassinés dans leur domicile sous les yeux de leur fils âgé de 3 ans par Larossi Abballa.

Qui lui a transmis ces informations ?

«C’est un scandale d’Etat. Quelqu’un qui a accès aux adresses des policiers… Vous vous rendez compte si ce monsieur était infiltré par Daesh ou par d’autres islamistes indirectement ? Imaginez, depuis 2015, le nombre de documents qu’il a pu donner à des islamistes qui, un jour, pourront s’en prendre aux policiers.»

Aujourd’hui la peur est dans le camp des policiers français

 

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